Situé dans les Corbières, le village de PERILLOS tire son nom du catalan « perelloner »= poirier sauvage
La chapelle Saint Michel dans le village abandonné de PERILLOS après Opoul.
La première citation du village date du XIIe siècl. Il semblerait qu’il ait été occupé dès l’époque romaine. En 1246, fut rédigée la Charte de fondation du village.
Selon certaines sources, ce serait Jean 1er d’Aragon qui fit construire le château fort et l’enceinte.
Au XIVe siècle, Périllos devint une véritable seigneurie. Il connut de nombreux désagréments comme la peste, le phylloxéra, fut ravagé par les guerres…
Le village abandonné a été rattaché à Opoul en 1971. L'église
consacrée à saint-Michel fut édifiée en 1215. Typiquement romane, elle est dotée d'un clocher-mur.
Eloigné de la mer,et à la frontière de deux royaumes en conflits, Périllos ne se développa jamais normalement. Au XIXe siècles, le phylloxéra détruisit les vignes, l'une des rares ressources du village.
Puis ce fut les deux guerres mondiales qui emportèrent les hommes valides.En 1970,le dernier habitant,un berger, partit lui aussi rejoindre le village voisin d'Opoul.
Des ruines du château dit «del Senyor» du XIIIè il ne reste qu'une tour.
Où un alignement de trois chapelles laisse songeur: http://www.societe-perillos.com/3eglises.html
Une géométrie qui ne doit qu'au hasard ?
chapelle saint michel PERILLOS
Un peu avant la chapelle Sainte Barbe.
Un écrit du XVe siècle mentionne déjà la chapelle. L'édifice a été restauré. Il devrait se situer sur
l'emplacement d'une plus ancienne construction ou d'un endroit sacré pouvant fort bien remonter à l'antiquité.
La chapelle Saint Michel dans le village abandonné de PERILLOS après Opoul.
La première citation du village date du XIIe siècl. Il semblerait qu’il ait été occupé dès l’époque romaine. En 1246, fut rédigée la Charte de fondation du village.
Selon certaines sources, ce serait Jean 1er d’Aragon qui fit construire le château fort et l’enceinte.
Au XIVe siècle, Périllos devint une véritable seigneurie. Il connut de nombreux désagréments comme la peste, le phylloxéra, fut ravagé par les guerres…
Eloigné de la mer,et à la frontière de deux royaumes en conflits, Périllos ne se développa jamais normalement. Au XIXe siècles, le phylloxéra détruisit les vignes, l'une des rares ressources du village.
Puis ce fut les deux guerres mondiales qui emportèrent les hommes valides.En 1970,le dernier habitant,un berger, partit lui aussi rejoindre le village voisin d'Opoul.
Des ruines du château dit «del Senyor» du XIIIè il ne reste qu'une tour.
Où un alignement de trois chapelles laisse songeur: http://www.societe-perillos.com/3eglises.html
Une géométrie qui ne doit qu'au hasard ?
chapelle saint michel PERILLOS
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