SOURNIA chapelle st félicité
Sainte-Félicité fut construite à l'époque des Carolingiens au Xème siècle. C'était une ancienne possession de Saint-Michel de Cuxa. Sainte Félicité était jusqu'à la révolution un petit prieuré et un fief ecclésiastique.
En 1588, Louis de Castéras baron de Sournia acheta le fief de Sainte Félicité au chapitre Saint Just de Narbonne.
Elle était primitivement couverte en charpente et c'est pour supporter le poids de la voute qui remplaça plus tard la charpente qu'on construisit les six piliers intérieurs, en pierre de taille et qu'on doubla l'épaisseur des murailles pour qu'elles atteignent un mètre actuellement. L'arc de l'abside, ainsi que celui de la porte d'entrée, sont en forme de fer à cheval . C'est une caractéristique de l'art mozarabe ce qui place la construction de cette chapelle au IXe siècle. L'axe de l'abside, par rapport à celui de la nef, est déporté vers la gauche, comme cela se produit presque toujours dans l'art Carolingien. Ce manque de symétrie est voulu et rappelle la position de la tête du Christ, qui après sa mort, était inclinée sur son épaule droite.
Sainte-Félicité fut construite à l'époque des Carolingiens au Xème siècle. C'était une ancienne possession de Saint-Michel de Cuxa. Sainte Félicité était jusqu'à la révolution un petit prieuré et un fief ecclésiastique.
En 1588, Louis de Castéras baron de Sournia acheta le fief de Sainte Félicité au chapitre Saint Just de Narbonne.
Elle était primitivement couverte en charpente et c'est pour supporter le poids de la voute qui remplaça plus tard la charpente qu'on construisit les six piliers intérieurs, en pierre de taille et qu'on doubla l'épaisseur des murailles pour qu'elles atteignent un mètre actuellement. L'arc de l'abside, ainsi que celui de la porte d'entrée, sont en forme de fer à cheval . C'est une caractéristique de l'art mozarabe ce qui place la construction de cette chapelle au IXe siècle. L'axe de l'abside, par rapport à celui de la nef, est déporté vers la gauche, comme cela se produit presque toujours dans l'art Carolingien. Ce manque de symétrie est voulu et rappelle la position de la tête du Christ, qui après sa mort, était inclinée sur son épaule droite.
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