Corneilla del vercol : chapelle del paradi
Citée la première fois en 1215 sous le nom de Sancta Maria de Corniliano, il est possible qu'il s'agisse de la première église du village.
On retrouve cette église au siècle suivant en 1341 (Sancta Maria de Paradiso alias del Vilar), puis en 1596 : Eremita de Nostra Senyora de Paradis.
C'est donc en 1596 que l'on a la preuve de la présence d'un ermite à Notre Dame du Paradis.
A partir de la fin du XVIIe siècle, la plupart des ermitages catalans étaient fondés, souvent sur les restes d'une ancienne paroisse ou d'une chapelle castrale. Ici il s'agissait d'un édifice religieux abandonné, peu isolé . Les ermites étaient des membres de la société catalane : On les respectaient, ils étaient écoutés comme des personnes détenant la sagesse, le savoir.
Citée la première fois en 1215 sous le nom de Sancta Maria de Corniliano, il est possible qu'il s'agisse de la première église du village.
On retrouve cette église au siècle suivant en 1341 (Sancta Maria de Paradiso alias del Vilar), puis en 1596 : Eremita de Nostra Senyora de Paradis.
C'est donc en 1596 que l'on a la preuve de la présence d'un ermite à Notre Dame du Paradis.
A partir de la fin du XVIIe siècle, la plupart des ermitages catalans étaient fondés, souvent sur les restes d'une ancienne paroisse ou d'une chapelle castrale. Ici il s'agissait d'un édifice religieux abandonné, peu isolé . Les ermites étaient des membres de la société catalane : On les respectaient, ils étaient écoutés comme des personnes détenant la sagesse, le savoir.
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