Santa Engracia du Montdony au dessus d'Amélie les bains
Par ses caractéristiques de construction, de tradition romane, la chapelle de Santa Engracia
pourrait dater du XIème ou XIIème siècle.
C’est à la dévotion de Sainte Engrace de Saragosse, vierge et martyr, fêtée le 16 avril que l’on devrait la construction de cette chapelle.
En 1285, son nom est cité dans les ouvrages.: ecclesia Sanctae Engraciae de parrochia de Mondony (Eglise Ste Engracia de la paroisse de Mondony)
Au XV siècle, on la retrouve sous le nom de Priorat de Santa Engracia, indiquant qu’elle aurait reçu le statut de prieuré.
Le XVIIe siècle fut celui de l'essor des ermitages. Toutes les anciennes chapelles, qu'elles soient d'origine paroissiales ou castrales, furent réhabilitées.On les modifia et on construisit des bâtiments annexes pour accueillir l'ermite.Ce fut le cas de l'ancienne église Ste Engracià, qui apparaît sous le vocable de hermita
de Santa Engracia en 1688.
En 1790 une loi fut votée déclarant que les biens de l'Eglise étaient des possessions de l'Etat. Ainsi tous les édifices religieux qui n'étaient pas le siège d'une paroisse furent vendus comme biens d'Etat, ce qui fut le cas de Ste Engracià.
porte réalisée par des élèves du CFA de Perpignan durant sa restauration
vue de Montalba :
le col tout proche
Par ses caractéristiques de construction, de tradition romane, la chapelle de Santa Engracia
pourrait dater du XIème ou XIIème siècle.
C’est à la dévotion de Sainte Engrace de Saragosse, vierge et martyr, fêtée le 16 avril que l’on devrait la construction de cette chapelle.
En 1285, son nom est cité dans les ouvrages.: ecclesia Sanctae Engraciae de parrochia de Mondony (Eglise Ste Engracia de la paroisse de Mondony)
Le XVIIe siècle fut celui de l'essor des ermitages. Toutes les anciennes chapelles, qu'elles soient d'origine paroissiales ou castrales, furent réhabilitées.On les modifia et on construisit des bâtiments annexes pour accueillir l'ermite.Ce fut le cas de l'ancienne église Ste Engracià, qui apparaît sous le vocable de hermita
de Santa Engracia en 1688.
En 1790 une loi fut votée déclarant que les biens de l'Eglise étaient des possessions de l'Etat. Ainsi tous les édifices religieux qui n'étaient pas le siège d'une paroisse furent vendus comme biens d'Etat, ce qui fut le cas de Ste Engracià.
porte réalisée par des élèves du CFA de Perpignan durant sa restauration
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